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Statistiques

Date de création : 11.03.2009
Dernière mise à jour : 31.01.2011
1112 articles


la chasse indienne

Publié le 31/01/2011 à 20:58 par loup86 Tags : animaux chevaux
la chasse indienne
la chasse indienne
chasse était très pratiquée dans le Nord car ses habitants ne pouvaient y pratiquer l'agriculture. Dans les Basses Terres du Saint-Laurent, la chasse demeurait une activité très importante.



Les animaux les plus chassés étaient les cerfs de Virginie, les caribous et les orignaux. La chasse était leur seule source de viande.



Ils conservaient les peaux pour se confectionner des vêtements. Pour varier leur alimentation, ils chassaient aussi les oiseaux comme la tourte.


Pour chassé les indiens utilitaire trois techniques de chases: la poussée jusqu'à des falaises, l'encerclement et la poursuite.



La course jusqu'à la falaise se pratiqua surtout avant l'arrivé des chevaux, elle consistait à diriger un troupeau de bisons, caribou et autre animaux vers le bord d'un précipice de les faire sauter dans le vide en les effrayant et en semant la panique parmi eux.



La méthode de poussée fut abandonnée avec l'arrivé des chevaux qui permettaient une chasse plus sélective, l'encerclement, méthode dangereuse, nécessitait un grand nombre de cavaliers pour contenir les animaux dans un cercle.

la chasse indienne

Publié le 31/01/2011 à 20:57 par loup86 Tags : enfants animaux femmes cheval chevaux
la chasse indienne
la chasse indienne
Le troupeau cerné. Les Indiens lançaient des projectiles de toutes parts. Rendus fous furieux, les bisons paniqués chargeaient les cavaliers et leurs montures qui se trouvaient sur leur passage.



La technique la plus souvent utilisée était celle de la poursuite. Quelques jours avant la chasse, le Chef du village réunissait un conseil de chefs de famille pour élaborer la stratégie de l'attaque.



Durant cette période des cérémonies étaient organisées afin de favoriser une chasse fructueuse.



Vieillards, femmes et enfants suivaient la troupe pour découper sur place les bisons abattus.




La plupart des chasseurs prenaient soin de se débarrasser de tout vêtement inutile, ne portant que des jambières, un pagne, des mocassins et parfois une tunique sans manches pour ne pas gêner leurs mouvements.



Les cavaliers avançaient contre le vent pour ne pas se faire remarquer et dès qu'ils étaient assez près, changeaient de monture et confiaient la garde des chevaux restants aux femmes et aux enfants.



Le chef plaçait ses hommes en ligne et donnait le signal de l'attaque. Parfois, les chasseurs se séparaient en deux groupes et galopaient parallèlement de chaque côté du troupeau.
Une fois le signal d?ttaque donné par le meneur, les hommes devait tuer le plus de bêtes que possible.



Certain récits raconte des de prouesses quasi surnaturelles, le nombre de bisons tués au cours d'une battue était généralement de trois à cinq bêtes par chasseur.



Le nombre de bête tués par chasseur dépendait surtout de la rapidité et de l?tat de fatigue du cheval.



Les chasseurs reconnaissaient les animaux qu?ls avaient tués par les flèches qui portaient leurs marques de fabrication personnelle.

(suite) de les oiseaux et legende

Publié le 31/01/2011 à 20:57 par loup86

Jusqu'à ce jour, l'oie blanche n'a pas encore manqué à sa parole. Chaque printemps, de la fin mars jusqu'à la fin mai, près d'un million d'oiseaux fréquentent les berges du lac Saint-Pierre à Baie-du-Fèbvre. Des milliers d'ornithologues amateurs et les amants de la nature se donnent rendez-vous le long des zones inondées pour observer le retour spectaculaire des oies blanches.



Le Créateur commença donc son travail. Avec le rouge et le brun, il colora le merle. Avec le bleu, il donna ses couleurs à l'hirondelle. Avec le jaune, il colora le chardonneret et ainsi de suite, jusqu'à ce que tous les oiseaux soient recouverts des couleurs de la nature.

Vous pourriez même, si vous prenez le temps d'observer les oiseaux, deviner où Tabaldak a pris la teinture pour colorer chaque oiseau que vous observez. Il n'y a pas de couleur sur un oiseau qui n'est pas dans la nature.



Pendant qu'il faisait son travail avec patience, un oiseau le dérangeait constamment. Il criait, battait de l'aile bruyamment, bousculait les autres et oubliait de partager la joie de ses frères. Il alla même devant le Créateur pour l'insulter en lui disant que ses teintures étaient bien belles, mais pas assez brillantes pour les mettre sur son magnifique plumage. Patiemment le créateur continua son travail. L'oiseau était de plus en plus dérangeant, battant de l'aile et criant constamment.



Il revint devant le Créateur encore une fois et d'un coup d'aile renversa tous les pots de teinture. Les teintures en se renversant se mélangèrent et devinrent toutes noires. Vous auriez dû voir grand-maman Marmotte derrière le tee pee. Elle était dans tous ses états, n'en croyant pas ses yeux de voir ce que l'oiseau avait fait.

Le Créateur, dans sa grande patience, ramassa la teinture noire et la remit dans un nouveau pot que grand-maman Marmotte avait apporté. Il reprit sa plume et continua son travail. L'oiseau dérangeant revint une troisième fois devant lui pour l'insulter à nouveau, mais cette fois-ci, Tabaldak saisit l'animal par les pattes, le plongea dans la teinture noire et le leva très haut au bout de son bras en lui disant :



"Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté. Parce que tu l'as bien voulu, tu seras toujours un oiseau dérangeant et bruyant. Tu auras toujours un vol lourd et bruyant. Les autres oiseaux te craindront et les animaux te fuiront. On t'appellera le Corbeau".



Et il laissa partir l'oiseau. Mais ce n'était pas le dernier oiseau. Le dernier oiseau arriva humblement devant Tabaldak.

Il excusa le comportement effronté du corbeau et dit au Créateur :



"Tabaldak, je regrette le geste du corbeau. J'aurais voulu que tu couvres mes plumes de l'arc-en-ciel de ta création. J'aurais pu, ainsi coloré, voler très haut vers le soleil et tracer de grands cercles pour que tes enfants puissent y voir toute ta puissance. J'aurais voulu être ton symbole pour tes enfants".



Le Créateur fut bien ému par les paroles de l'oiseau. Il dit à l'animal :


"Ouvre bien grandes tes ailes".



Il prit alors sa plume et la plongea dans la teinture noire. Il en mit un peu sur le bout des ailes, un peu autour du cou. Il en mit aussi un peu sur la queue et balaya tendrement le dos de l'animal en lui disant :

"Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté. Tu seras mon symbole. Tu voleras très haut pour tracer le cercle sacré. J'y mettrai toute ma puissance et mes enfants le verront. Tu seras le seul animal à regarder le soleil bien en face. On t'appellera l'AIGLE. Et pour s'en rappeler, chaque fois qu'un de mes enfants plantera un poteau dans le sol pour y graver ses symboles et ses totems, tout en haut il placera tes ailes pour me symboliser. Tu seras un guide pour mes enfants. Telle est ta volonté mon bel oiseau et telle est ma volonté."



Je veux que vous sachiez que depuis ce temps-là, les Amérindiens utilisent les plumes de l'aigle pour s'en faire de belles décorations et qu'il y a toujours une plume d'aigle attachée à la pipe sacrée.


Cette légende est encore très vivante dans le village Abenakis d'Odanak au Québec.

les oiseaux (légende Abénakis)

Publié le 31/01/2011 à 20:55 par loup86 Tags : image travail création enfants amis nature neige hiver bleu jardin automne
les oiseaux (légende Abénakis)
Au début du monde, le Créateur, que les Indiens Abénakis appellent Tabaldak créa la terre et pour eux, la terre devint le jardin de Tabaldak. Depuis ce jour, la vieille terre-mère donne les plantes qui nourrissent et les plantes qui soignent.

Tabaldak avait créé tout ce dont les hommes avaient besoin pour vivre sur terre. Il avait tout créé ou presque, car pour les Indiens le Créateur n'est pas parfait, sinon il aurait créé tous les Indiens parfaits.

Tous les Indiens étaient en extase devant la création jusqu'au moment où Ours blanc décida de mettre son gros manteau blanc sur le pays et souffla son haleine froide pour faire arriver l'hiver.


À cette époque, les Indiens vivaient la majeure partie de leur temps dans le tee pee et les petits papooses sont vite devenus bien tristes. Ils n'avaient plus rien pour s'amuser, sauf les cendres du feu qui paraissaient à peine tièdes tellement le froid était intense.

Durant l'été, ils avaient joué avec les feuilles de l'arbre sacré. Ils en avaient fait des colliers, des panaches, des papillons et ils avaient aussi joué avec le ruisseau. Mais avec la neige qui avait tout recouvert de blanc, tous leurs jouets avaient disparu et ils étaient devenus bien tristes. Tellement tristes que grand-maman Marmotte le remarqua et décida d'aller voir Tabaldak.

Elle lui dit :


"Tu as créé de bien belles choses pour tes enfants adultes. Tu as tout donné pour qu'ils puissent bien vivre. Mais tu as oublié mes petits papooses".


Tabaldak réfléchit un instant et approuva grand-maman Marmotte. Il promit d'arranger les choses. Aussitôt que le printemps se pointa le nez, il se mit à réfléchir à ce qu'il pourrait bien créer pour leur rendre l'hiver plus agréable. C'est alors qu'il se rappela avoir vu les enfants jouer avec les feuilles de l'arbre sacré. Il décida donc de créer les oiseaux. Mais dans sa hâte de faire plaisir aux enfants pour l'hiver prochain, il créa les oiseaux tous blancs, de la même couleur que l'hiver.



Les enfants furent très heureux de cette création. Vous auriez dû les voir jouer avec les huards, les canards, les sarcelles, les perdrix, les pic-bois, les hirondelles, les parulines, les gros-becs, les roselins, les bruants, les chardonnerets, les mésanges, les merles, les moineaux et les colibris. Les papooses ont passé le printemps, l'été et même l'automne à s'amuser avec leurs nouveaux amis les oiseaux.



Lorsqu'Ours blanc jeta de nouveau son gros manteau blanc sur le dos de la terre-mère, les enfants se rendirent compte que les oiseaux étaient de la même couleur que la neige et qu'ils pouvaient à peine les voir. Même les oiseaux étaient bien embêtés pour se reconnaître entre eux. Ils étaient tous de la même couleur. Ils retournèrent dans leur tee pee avec encore beaucoup de tristesse.

Grand-maman Marmotte vit la tristesse des enfants. Elle retourna voir Tabaldak et lui dit :



"Tabaldak, je crois que tu as créé les oiseaux un peu trop vite. Tu as donné aux adultes une nature toute colorée à ton image, mais tu as oublié que les petits enfants méritaient aussi ces mêmes couleurs pour leurs oiseaux".
Tabaldak réfléchit et finit par dire à grand-maman Marmotte :


"Tu as bien raison. Je vais réparer mon erreur. Appelle tous les oiseaux et dis-leur de se rassembler ici devant moi".



Pendant ce temps, Tabaldak alla prendre du brun terre, du vert pelouse, du vert arbuste, du bleu ciel, du jaune soleil, du rouge feu, du gris nuage et fabriqua de merveilleuses teintures qu'il mit dans de magnifiques pots en écorce de bouleau que grand-maman Marmotte avait fabriqués pour lui. Les pots sentaient bon l'écorce fraîche. Tabaldak plaça les pots de teinture devant lui.

L'oie blanche s'avança la première près de Tabaldak et lui donna une plume afin qu'il puisse colorer les oiseaux.

L'oie blanche lui dit :

"Prends ma plume pour faire ton travail de création. Moi je resterai blanche afin que tes enfants s'en rappellent. Chaque année, je passerai au-dessus de leur territoire pour qu'ils se souviennent de toi. "

LES ASSINIBOINES

Publié le 31/01/2011 à 20:55 par loup86
LES ASSINIBOINES

Les Assiniboines ou Assoniboins vivaient dans les régions de l'est du Canada. On pense que les Assiniboines étaient à l'origine des Sioux qui se séparèrent au 17ème siècle. Ils commencèrent leur nouvelle vie dans le nord, souffrant du froid et la neige.

Les enfants mouraient gelés et la famine était fréquente car la nourriture rare. La tribu compris qu'il fallait repartir plus au sud pour trouver une terre plus généreuse où la vie serait moins dure. Le groupe reprit son errance pour trouver un endroit où les enfants pourraient "respirer l'été pour toujours".

Comme tout le monde n'était pas d'accord sur le chemin à suivre, ils se séparèrent encore une fois en plusieurs groupes. Ils se savaient plus vulnérables ainsi, mais chaque groupe chercha les territoires les plus propices, là où le gibier serait plus abondant. A ces petits groupes, ceux du groupe original donnèrent des noms négatifs comme Wasinazinyibi (qui veut dire gros fumeurs) ou encore Cantidada (qui veut dire peuple moisi).

L 'arrivée de ces différents groupes dans les plaines influença les coutumes des autres tribus. Chacun de ces nouveaux groupes eut un chef (il pouvait y avoir jusqu'à 3 chefs dans chaque groupe). Au plus haut de leur démographie, il y avait 33 groupes d'Assiniboines avec une population allant de 700 à 1,000 personnes dans chaque groupe. Ils n'étaient plus que la moitié de ce nombre en 1851 après les épidémies de variole.

LANGUE :

Les Assiniboines parlent le "nakota", l'un des trois dialectes sioux.
VIE QUOTIDIENNE :

Une fois installés sur leurs novueaux territoires, chacun des membres de la tribu se voyait attribué différentes tâches. Les femmes agées allaient chercher du bois pour entretenir le feu à la nuit tombée.

Les femmes plus jeunes avaient la responsabilité de la charge de la maison pendant les deplacements. De ce fait, les maison leurs appartenaient. Elles s'ccupaient également de preparé les repas et d'entretenir le tepee.

Les hommes s'occupaient de l'allimentation et de defendre leurs familles. Seuls les hommes pouvaient devenir chef de la tribe. Mais les hommes et les femmes s'occupaient de la medecine traditionnelle, de la musique.

Les enfants etaient souvent de corvees d'eau. Les jeunes filles aidaient beaucoup leurs meres. Quand aux jeunes garcons, il allait chasser et pecher avec leurs pères.

Il n'y avait de fêtes que lorsqu'il y avait la paix entre les tribus où quand une guerre se terminait. Les femmes n'étaient jamais autorisées à manger avec les hommes. Les hommes faisaient un festin avec toute la nourriture préparée par les femmes.

Après le repas, ils fumaient la pipe et préparaient les danses qui allaient suivre. Ils devaient décider qui devaient mener les danses pour remplacer les plus vieux.

Les danses duraient jusqu'à tard dans la nuit, tout le monde en profitait le plus possible, sachant qu'il n'y en aurait pas d'autre fête avant longtemps. Ils echangaient régulierement avec les autres tribus. I

ls fesait beaucoup de commerce des peaux de bison et de viande avec des tribus les Hidatsa en echange de maïs. Ces tribus communiquaient à l'aide de la langue des signes.

VETEMENTS :

Les femmes portaient de longues robes en peau de chèvre de montagne, de peau de cerf, de bison. Les robes etaient souvent décoré de piquants de porc epic, de perle et de peinture. Les hommes portaient des pagnes avec des jambieres de cuir. Ils mettaient également des coiffes de bison. Les Assinoboines Portaient des mocassins au pied.



ALIEMENTATION :

Les hommes chassaient du bison, des cerfs, des mouflons et des lapins. Outre la viande, ils mangaient des fruits, des noix et du maïs lors d'echangé avec d'autres tribus.
QUELQUES DATES :

Au XIXè siècle, émigrés vers l'ouest jusqu'au Montana et en Alberta, les Assiniboines se heurtent aux Lakotas au sud et aux Blackfeet à l'ouest.

En mai 1873, une quarantaine de chasseurs de loups canadiens attaquent à Cypress Hill, au Saskatchewan, le grand campement du chef Little Soldier. Après une résistance acharnée, les Assiniboines doivent fuir, abandonnant une trentaine de morts.

Les Assiniboines participent, en 1885, aux côtés de plusieurs tribus crees, à la guerre menée par les Métis de Louis Riel au Saskatchewan. Ils prennent part aux violents combats qui se déroulent le 24 avril et le 2 mai 1885 à Fish Creek et à Cut Knife Hill entre les partisans de Louis Riel et des troupes canadiennes munies de canons et commandées par le général Middleton.

( a suivre )

LES ASSINIBOINES ( suite)

Publié le 31/01/2011 à 20:54 par loup86 Tags : chevaux
LES ASSINIBOINES ( suite)
LORS DE L'ARRIVE DES EUROPEENS :



A l'époque des premiers contacts avec les colons européens, les Assiniboines n'habitaient pas de villages permanents, mais se déplaçaient selon leurs besoins en nourriture. Avec l'acquisition des chevaux et des armes à feu au dix-huitième siècle, ils devinrent une tribu typique des Grandes Plaines, alliés des Crees contre les Pieds-Noirs (Blackfoot) et alors qu'ils formaient une grande tribu au moment du premier contact, ils furent décimés par la petite vérole au début du dix-neuvième siècle.



Les Assiniboines étaient commerçants. Ainsi au milieu du dix-neuvième siècle, ils entretenaient des relations commerciales avec les Européens, tant militaires que civils, qui s'installaient en nombre croissant dans le Montana.





DE NOS JOURS :

En 1990, on comptait 5 500 Assiniboines aux États-Unis, la plupart vivant dans les réserves de Fort Belknap et Fort Peck dans le Montana. À Fort Peck, les Assiniboines sont représentés par les bandes Canoe Paddler et Red Bottom. Environ 1 500 Assiniboines vivent dans des réserves en Saskatchewan et en Alberta, au Canada.

histoire de la musique country

Publié le 31/01/2011 à 20:53 par loup86

histoire de la musique country



Ce sont les Irlandais et les Anglais immigrés dans les Appalaches qui l'ont créée. Au fil des années, elles s'est considérablement enrichie et diversifiée et c' est aujourd'hui une des musiques les plus écoutées aux Etats-Unis. Ses formes sont multiples mais on peut schématiquement distinguer :


La Old Time Music : Cette musique "du bon vieux temps" s'est développées à la fin du 18ème siècle dans le massif des Appalaches. Issue du folklore Irlandais, elle était le plus souvent jouée au violon.

Les Cowboys Songs : Ces chansons des convoyeurs de troupeaux texans du 19ème siècle étaient souvent accompagnées au violon. Elles relataient l'épopée des pionniers de l'ouest et les aventures des "cow-boys".

Le Western Swing : Cette musique texane, se jouant principalement au violon, est un mélange de country, de blues et de jazz. A partir d'elle, naîtront le rock'nroll et de la country music moderne. Elle a été développée dans les années 30 par Bob Wills et Milton Brown.

Le Blue Grass : Musique traditionnelle populaire du Kentucky créée par Bill Monroe dans les années 40. Elle est jouée avec des instruments à cordes (guitare sèche, banjo, violon, mandoline, etc...) sur de nombreux accords de blues. Les voix masculines restent fortement présentes.
Les pionniers du genre : Lester Flatt et Earl Scruggs (Foggy mountain breakdown, Roll in my sweet baby's arms), les Stanley Brothers (Rank strangers, Little Maggie)... Aujourd'hui, de nombreux artistes lui empruntent encore ses éléments instrumentaux et les incorporent à leur propre style comme Emmylou Harris ou Ricky Skaggs.

Le Cajun : Cette musique a été créée par les français installés en Acadie, chassés par les Anglais puis réfugiés dans les Bayous (marécages) de Louisiane .
La musique Cajun, c'est aujourd'hui de belles chansons avec des paroles dans un drôle de français, accompagnées par un violon ou un accordéon. Chants traditionnels, valses et célèbre berceuses... qui vous donnent envie de bouger les pieds. À découvrir aussi le zydeco, version épicée du cajun avec une bonne dose de blues, de jazz et de rock...
Une figure emblématique : Zachary Richard

Le Rockabilly : Contraction des mots « rock » et « hillbilly » qui désigne le rock'n'roll traditionnel de la seconde moitié des années 50. Il s'est fortement développé dans les années 50-60 avec, en figure de proue Elvis Presley, mais aussi Johnny Cash, Jerry Lee Lewis, Carl Perkins (etc...). A noter : le tempo est donné par la contre-basse et non par la batterie.

Le Honky Tonk : La musique " Honky Tonk " ou musique de boîte de nuit est issue de la Hillbilly Music, jouée à l'origine dans les campagnes, et qui arrive dans les villes en "s'électrifiant". C'est une musique forte en décibels à base de rock'n roll. Son représentant le plus populaire reste le mythique Hank Williams.

La Country and Western : A l'origine du développement de la « Country and Western » : le guitariste Chet Atkins, créateur du Nashville Sound qui s'implanta en 1957 avec le "I can't stop loving you" de Don Gibson et le "He'll have to go" de Jim Reeves en 1959. L'expression « Country and Western » qui connut son apogée avec le Nashville Sound du début des années soixante est aujourd'hui tombée en désuétude au profit de l'appellation Country Music qui englobe toutes les tendances.

La New Country : La musique country actuelle est apparue dans les années 1980, c'est la New Country (avec Garth Brooks, meilleure vente de disques aux USA). Cette musique incorporant le rock reste à la fois très "électrifiée" et garde le sens du spectaculaire. Cette musique se diversifie constamment depuis et on a vu apparaître de nouveaux courants comme la country pop (Shania Twain...)

la line dance

Publié le 31/01/2011 à 20:53 par loup86

la line dance
« La Line Dance est une forme chorégraphiée de la danse populaire, qui incorpore une séquence répétée de pas, et qui est pratiquée de façon identique par un groupe de danseurs, en une ou plusieurs lignes.

Plus simplement, on danse seul, tout en faisant partie d'un même groupe qui fait les mêmes pas au même moment dans la même direction.

Les origines de la Line Dance se retrouvent dans la danse folklorique. Il y a, comme dans toutes les danses du monde, un aspect répétitif, des pas faciles à reproduire, et différents formats (cercles, chaînes, contre-danses).

Les influences sont Européennes (Irlande, Ecosse, France) et Américaine, car dans le « Melting Pot » culturel américain des 18ème et 19ème siècles, plusieurs danses se sont rencontrées.

Toutefois, un style purement « américain » a vu le jour dans l'ouest et le « Mid-west » , en tant que « Country et Western Dance ». C'étaient alors essentiellement des danses en couple.

En Nouvelle-Angleterre, se développent les « contre-danses » (venues d'Europe). Elles réapparaissent vers les années 1940 .

Dans les années 1960, se pratique une danse appelée « Hully Gully », qui n'est pas spécialement chorégraphiée à l'origine, mais évolue et se modifie au fil des pistes de danse. D'autres s'en suivent sur le même principe (« Bus Stop », « Bunny Hop »).

C'est en 1980 que la Line Dance, telle que nous la connaissons aujourd'hui, voit vraiment le jour. Jim Ferrazano, était alors en compagnie de Melanie Greenwood dans une soirée où « l'orchestre refusait de jouer de la Country, et donnait un affreux chacha ». Jim, sur un coin de nappe, se mit à écrire une chorégraphie, qu'ils mirent de suite en pratique. Ainsi naquit le « Tush Push », l'une des danses les plus connues.

Par la suite, le film « Urban Cowboy » avec John Travolta, inspira « Cotton Eye Joe » et le « Two step ».

En 1992, Billy Ray Cyrus fait la promotion de sa chanson « Achy Breaky Heart » et demande à Melanie Greenwood de chorégraphier une danse pour illustrer le clip. La chanson se révèle un tube, et la Line Dance devient à la mode, en particulier sur la scène Country.

Des cours se développent en Amérique du Nord, Australie, et Europe. Un déluge de Line Dances s'ensuit : « Barr room Romeo », « Waltz across Texas »(1992), « Chatahoochee »(1993), & « God Bless Texas ».

Depuis la Line Dance n'a cessé de croître et poursuit son évolution, en prenant ses marques plus ou moins différemment selon les pays et même selon les régions, mais continue à se pratiquer tant sur des musiques rock, pop, ou disco, que sur de la Country.

Aujourd'hui, les danses deviennent de plus en plus difficiles : celle qui était d'un niveau « avancé » il y a 5-10 ans est aujourd'hui « intermédiaire ». Le fossé se creuse entre la danse « sociale » et la danse de compétition, tant au niveau des pas de danse, de la technique, que de la présentation. Mais en même temps, plus la Line Dance devient « professionnelle », plus elle a de chances de survivre. »

Extraits de l'article de David Powell, Janvier 2003 : « What is Linedancing ? »
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les coyotes

Publié le 31/01/2011 à 20:52 par loup86

les coyotes
.../... le souvenir de la horde du sud qu'ils avaient quitté depuis plusieurs lunes s'estompait peu à peu. Yeh-Moh se retourna vers son compagnon Tyo-Pah et les deux femelles. Un vent tiède faisait onduler les hautes herbes en leur ramenant des senteurs extraordinaires rehaussées par l'air humide d'un orage naissant. Les quatre coyotes se dirigèrent en trottinant vers le flanc d'un coteau qui surplombait la rivière, où des blocs de granite leur offrait des abris naturels. Ils savaient qu'ils avaient trouvé leur nouveau territoire. Ils montèrent jusqu'à un escarpement rocheux et contemplèrent la vallée éclairée par la pleine lune. Yeh-Moh et Tyo-Pah pointèrent leur museau vers la lune, les femelles les imitèrent et leurs hurlements montèrent vers le disque sélénite alors que les premiers éclairs déchiraient le rideau de nuages noirs qui arrivait par l'ouest.

The Legend of Yeh-Moh de John Mac Brandal (Presskoy Edition VANCOUVER 1998)

Le JARGON des Danses

Publié le 31/01/2011 à 20:52 par loup86 Tags : rock

Le JARGON des Danses




Le JARGON des Danses

Vous trouverez ci-dessous un glossaire des principaux termes utilisés dans les chorégraphies enseignées. Ils sont classés par ordre alphabétique et non par difficulté. Nous vous conseillons de savoir parfaitement les définitions et l'exécution des pas, afin de mieux appréhender les chorégraphies. Sauf indication contraire, les figures peuvent être effectuées de façon symétrique. Vous pouvez télécharger la version imprimable en cliquant ici (format PDF), ou encore une version anglaise + complète.
Il s'agit de définitions internes à notre association et elles n'ont aucun caractère officiel.

A à F - G à L - M à R - S à Z

--------------------------------------------------------------------------------

- A à F -
Nom du terme ou pas
Définition Rythme
BROSSE ou BRUSH (1): Balancer doucement le pied droit vers l'avant (ou l'arrière) en brossant le sol avec la pointe du pied ;
(2): Déposer le pied droit près du pied gauche
1-2
BUTTERMILK voir HEEL SPLIT
CHA CHA CHA Voir SHUFFLE 1 & 2
CW "Clockwise" - Dans le sens des aiguilles d'une montre
CCW "Counterclockwise" Dans le sens contraire des aiguilles d'une montre
CLAP Frapper dans les mains
COASTER STEP (1): Pied G derrière, (&) pied droit à côté du pied G, (2) Pied G devant (poids du corps sur pied G) 1 & 2
CROCHET Voir HOOK
DRAG Voir SLIDE
EVANTAIL Voir HEEL SPLIT
FAN Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
(1): Laisser le talon D au sol et pivoter la pointe droite 90o à droite ;
(2): Ramener la pointe droite en position de départ. 1-2

A à F - G à L - M à R - S à Z
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--------------------------------------------------------------------------------

- G à L -
Nom du terme ou pas
Définition Rythme
HEEL BALL CROSS (1): Talon D avant (&) Ramenez pied D à côté du pied gauche ;
(2): Croisé G devant le pied. Peut se faire des pieds opposés
1-2
HEEL BALL STEP (1): Talon D avant (&) Ramenez le pied D à côté du pied gauche en déposant de poids ;
(2): Déposez le poids sur le pied G 1 & 2
HEEL SPLIT (1) Soulevez les talons en les écartant vers l'extérieur – (2) Ramenez les talons au centre 1 - 2
HIP BUMP Balancement des hanches vers l'avant, vers l'arrière, de côté ou avec le partenaire
HITCH Élévation du genou
HOLD Pause (la durée est précisée)
HOOK Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
(1): Pied D levé au dessous du genou G en pliant légèrement jambe G ; (2): reposer pied D 1 - 2
JAZZ BOX Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
(1): Croiser le pied droit devant le gauche ; (2): Faire un pas du pied gauche derrière.
(3): Faire un pas du pied droit à droite; (4): Faire un pas du pied gauche devant. 1 - 2
3 - 4
JUMP Saut sur les deux pieds (vers l'avant ou l'arrière) 1
JUMPING JACK (1): Sautez en écartant les deux jambes ;
(2): Sautez de nouveau en croisant les jambes ;
(3): Finir en effectuant 1/2 tour ou 1/4 de tour 1 - 2 - 3
KICK Lancer du pied vers l'avant 1
KICK BALL CHANGE Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
(1): Lancer le pied D devant. (&) Déposer le pied D près du gauche en levant légèrement le pied gauche ;
(2): Transférer rapidement le poids sur le pied G en levant légèrement le pied D. 1 & 2
KICK BALL CROSS (1): Kick D vers l'avant (&) Ramenez le pied D au centre en y déposant le poids ;
(2): Croisez le pied G devant le pied droit en y déposant le poids.
Peut se faire sur les pieds et direction opposés 1 & 2
KICK BALL TURN (1): Kick D avant (&) Ramenez pied D à côté du pied gauche en y déposant le poids
(2): Step 1/4 de tour vers la gauche.
Peut se faire sur les pieds et direction opposés 1 & 2
LOCK Croisez un pied derrière l'autre. Ce mouvement se fait en se déplaçant vers l'avant ou l'arrière 1

A à F - G à L - M à R - S à Z
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- M à R -
Nom du terme ou pas
Définition Rythme
MILITARY TURN (1): Step D avant – (2): Pivotez 1/4 tour vers la gauche en y déposant le poids sur le pied gauche.
Peut se faire sur les pieds et direction opposés 1 - 2
MILITARY PIVOT (1): Step D avant – (2): Pivotez 1/2 tour vers la gauche en y déposant le poids sur le pied gauche.
Peut se faire sur les pieds et direction opposés 1 - 2
MONTEREY TURN (1): Pointer pied D à droite (le poids est sur le pied G),
(2): pousser de la plante du pied D en faisant &frac12; tour à droite avec transfert du poids,
(3): pointer pied G à gauche, (4): pied G à côté pied D 1 - 2
3 - 4
PAS CHASSE Voir SHUFFLE 1 & 2
PAS LOCKED Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
(1): Faire un pas devant avec le pied D. (2): Glisser le pied G et le croiser derrière le pied D. 1 - 2
PAS PIVOT Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
(1): Faire un pas devant avec le pied G ;
(2): Poids sur la pointe des deux pieds, pivoter vers la gauche jusqu'à faire face au mur requis, i.e. 90o or 180o. 1 - 2
PIGEON TOE ou HEEL SPLIT Pieds ensembles : (1) Ecarter les deux talons ensemble, (2) Rassembler 1 - 2
ROCK STEP Transfert de poids d'une jambe à l'autre (vers l'avant, l'arrière ou côté).
Exemple : (1): Avancer sur G, (2) sans bouger les pieds transférez le poids sur le pied D.
Le "Side Rock" est un rock step vers le côté 1 - 2

A à F - G à L - M à R - S à Z
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- S à Z -
Nom du terme ou pas
Définition Rythme
SAILOR STEP (1): Pied D derrière le G, (&) pied G sur côté G, (2): Pied D à côté pied G 1 & 2
SHUFFLE Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
(1): Faire un pas devant avec le pied G. (&) Amener le pied D près du G ;
(2): Faire un pas devant avec le pied G.
Peut se faire sur les pieds et direction opposés 1 & 2
SCOOT (1): Appui pied G, faire un saut vers l'avant en levant la jambe D ;
(2): Atterrir devant, la jambe D toujours levée. 1 - 2
SCUFF Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
Lever le pied D derrière et lancer le pied droit devant, en brossant le talon au sol. 1
SIDE ROCK Idem "Rock Step" mais vers le côté 1 - 2
SLAP LEATHER Talon en avant, balancer ce talon en passant devant ou derrière le genoux opposé (sans le toucher) :
(1): frapper le talon de la botte avec la main opposée ;
(2): Ramener ce même talon en avant en touchant le plancher. 1 - 2
SLIDE Pas glissé pour rejoindre le pied d'appui 1
SNAP Claquer des doigts
STEP Pas en avant, ou en arrière ou de côté 1
STAMP Lorsque le pied est relevé :
Frappez le plancher avec la plante du pied et relever sans déposer de poids. 1
STOMP Frapper le sol avec le pied – fermement – sans transfert de poids 1
STRUT (HEEL) Poser le talon puis la pointe (transfert de poids sur 2) 1 - 2
STRUT (TOE) Poser la pointe puis le talon (transfert de poids sur 2) 1 - 2
SWITCH Changement d'appui sur 1 temps.
Exemple :
(1): appui pied D, talon G devant, (&) ramener pied G à côté du pied D, (2): talon D devant. 1 & 2
SWIVEL ou TWIST Pieds ensemble et genoux légèrement pliés :
(1): Pivoter les deux talons à droite ;
(2): Pivoter les deux pointes à droite. 1 - 2
TOE TOUCH Toucher du bout du pied (orteils) dans la direction indiquée. 1
VIGNE (1): Pied D à droite, (2): pied G croisé derrière pied D, (3): Pied D à droite, (4): Scuff pied G 1-2-3-4
WEAVE (1): Pied D à droite, (2): pied G croisé devant pied D, (3): Pied D à droite, (4): Scuff pied G 1-2-3-4

A à F - G à L - M à R - S à Z